Prenant part, ce 21 décembre, à la grande session du comité national des négociations commerciales internationales (Cnnci) sur la mise en œuvre des échanges dans le cadre de la Zone de Libre Échange Continentale Africaine (Zlecaf), le représentant du secteur privé national, Amadou Seck, a renseigné que le secteur privé était prêt pour un démarrage effectif de la zone de libre échange continentale africaine prévu le 1er janvier 2021.
Il n'a pas manqué de souligner certaines contraintes liées notamment aux produits jugés sensibles en l'occurrence ceux de notion d'appellation d'origine tels que les céréales dans le secteur de la farine, du blé. À en croire le délégué du secteur privé, ces produits cités sont exclus de la libéralisation des échanges dans le démarrage le temps de permettre aux entreprises concernées par ces produits de mieux s'organiser.
Sur les défis des accords de libre échange, Amadou Seck s'attend à ce que le taux du commerce intra-africain qui est de l'ordre de 16% soit boosté à 50%. De façon spécifique, la Zlecaf ambitionne de réaliser le potentiel d'expansion du commerce intra-africain avec une projection d'une hausse de 50% des échanges commerciaux.
Il n'a pas manqué de souligner certaines contraintes liées notamment aux produits jugés sensibles en l'occurrence ceux de notion d'appellation d'origine tels que les céréales dans le secteur de la farine, du blé. À en croire le délégué du secteur privé, ces produits cités sont exclus de la libéralisation des échanges dans le démarrage le temps de permettre aux entreprises concernées par ces produits de mieux s'organiser.
Sur les défis des accords de libre échange, Amadou Seck s'attend à ce que le taux du commerce intra-africain qui est de l'ordre de 16% soit boosté à 50%. De façon spécifique, la Zlecaf ambitionne de réaliser le potentiel d'expansion du commerce intra-africain avec une projection d'une hausse de 50% des échanges commerciaux.
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Source : https://www.dakaractu.com/Mise-en-oeuvre-de-la-Zle...